Lorsqu'il s'agit de lutter contre le cancer du sein, les mammographies sont souvent considérées comme la première ligne de défense. Pourtant, pour de nombreuses femmes, une mammographie peut ne pas suffire à détecter un cancer du sein. C'est pourquoi les médecins adoptent une approche multimodale pour offrir des soins personnalisés qui répondent aux besoins spécifiques de la patiente. Dans le contexte de l'imagerie mammaire, cela passe par l'intégration de l’échographie, de l'IRM et de la mammographie spectrale avec rehaussement du contraste (CESM).
En tant que radiologue au centre Avera Health à Sioux Falls, dans le Dakota du Sud, le Dr Josie Alpers utilise la technologie CESM depuis plusieurs années et la qualifie d’« outil idéal pour résoudre les problèmes ».
Le Dr Alpers a récemment vu une patiente qui s'était fait retirer des implants, mais qui avait encore du silicone dans les seins : cela ressemblait à des tissus denses sur la mammographie. Les tissus mammaires denses et les lésions cancéreuses apparaissent en blanc sur une mammographie, de la même manière. Rechercher un cancer peut donc être comme chercher une boule de neige dans une tempête de neige.
« Il était difficile de deviner ce que l’on voyait. », explique le Dr Alpers. « En revanche, avec la technologie CESM, c'est comme si on avait allumé la lumière. Les zones avec silicone sont devenues plus sombres, et j'ai pu dire à la patiente avec certitude que tout allait bien. »
Utilisé à la suite d'une mammographie ou d'une échographie non concluante, le SenoBright™ HD (CESM) de GE Healthcare met en évidence les zones présentant des schémas de flux sanguin inhabituels. La technologie CESM offre un niveau de confiance élevé pour les cliniciens et les patientes car elle fournit une qualité d'image nette, l'agent de contraste mettant en évidence les zones de flux sanguin inhabituel.
Un autre avantage réside dans le fait que l'examen peut être réalisé en moins de sept minutes, avec le même équipement que celui utilisé pour la mammographie, dans la même salle et avec le même personnel. Le Dr Alpers et son équipe réalisent en moyenne six à huit examens CESM par jour et ont constaté que cette technique était plus confortable et plus rentable pour la patiente que l'IRM.
« J'espère que de plus en plus de médecins utiliseront la technologie CESM. D'après notre expérience, elle présente une sensibilité et une spécificité élevées, pour un diagnostic plus précis du cancer du sein, et permet également de réduire les faux positifs afin d'éviter les biopsies inutiles.», conclut le Dr Alpers. « Les patientes sont ravies de voir cette image ; elles repartent l'esprit tranquille, avec la certitude qu’elles vont bien. »
